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Des tracteurs affrontent des véhicules blindés de gendarmerie Berliet VXB-170 ou VBRG (Véhicule Blindé à Roues de la Gendarmerie) sur l'autoroute A1 près de Chennevières-les-Louvres, à proximité de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, au nord-ouest de Paris, le 31 janvier 2024, alors que les agriculteurs français maintiennent des barrages routiers sur les principales autoroutes menant à Paris pour un troisième jour, dans le cadre de manifestations à l'échelle nationale convoquées par plusieurs syndicats d'agriculteurs contre le dumping étranger, les impôts et la réglementation. Des convois de tracteurs se sont rapprochés de Paris, Lyon et d'autres endroits stratégiques en France le 31 janvier, alors que des milliers d'agriculteurs protestataires semblaient ignorer les avertissements d'intervention de la police s'ils franchissaient les lignes rouges fixées par les ministres. Les syndicats d'agriculteurs, peu impressionnés par les concessions proposées par le gouvernement présidentiel, ont encouragé leurs membres à poursuivre leur lutte pour des revenus plus élevés, moins de bureaucratie et une protection contre la concurrence étrangère. (Photo de JULIEN DE ROSA / AFP)

Tout absolutisme finit mal !

Nul n’ignore que la Vème République se veut en réalité une monarchie à temps, initialement cependant équilibrée et démocratique. Elle demandait des présidents, élus par le peuple, ce même sentiment de devoir envers lui et envers la France qui habitait naturellement nos monarques. Ses premiers présidents se sont investis dans ce principe. Ces chefs de notre État incarnaient la Nation.

Mais les trois derniers présidents qui viennent de se succéder, manquant sans doute de l’intelligence historique, moralement vulnérables et alimentant un ego hors de celui pleinement justifié de la Nation, ont accepté, ou suscité, des dérives de la Constitution. Cette Loi fondamentale, pourtant censée organiser l’État et protéger le peuple, a été lentement avilie. Elle a surtout été détournée par toutes sortes de biais vers un pouvoir présidentiel quasi exclusif, libérant des ambitions et des intérêts qui ne sont plus nécessairement ceux du peuple et de la France.

Elle n’est plus la norme suprême, dès lors qu’elle a été subordonnée au Droit européen et incorpore toutes sortes d’articles relevant habituellement de nos codes. Les représentants du peuple sont condamnés techniquement au silence. Ces évolutions négatives, sa pratique déviante ou sa mise en œuvre détournée de son esprit originel, ont gonflé les pouvoirs du Président et bien évidemment aussi ceux d’une organisation internationale envahissante dénommée Union Européenne. Si bien qu’aujourd’hui règne un président absolu pouvant s’affranchir du Parlement et s’appuyer sur des organismes non élus, comités et conseils de toutes sortes, auxquels sont associés des représentants convertis des professions, notamment agricoles, pour – non pas justifier – mais confirmer ses prétentions et désirs personnels.

Il approuve de fait ce qui se passe à Bruxelles, alors qu’il lui suffirait d’opposer un veto aux directives de l’UE pour que le monstre rentre dans son antre. Louis XIV était certes un roi absolu, mais il avait une haute idée de la France, ayant été éduqué pour l’incarner. Si ces derniers présidents avaient porté l’amour du pays dans le cœur et gardé sa grandeur comme phare de leur politique, les citoyens n’auraient vu, sans nul doute, que peu à contester et la France aurait conservé sa dimension et son rôle dans le monde.

Les changements profonds imposés au peuple vont dans l’irrationnel de la supranationalité par le pourrissement organisé de nos racines et la condamnation de notre culture et de nos valeurs.

Ainsi l’un de ces présidents nous a inféodé volontairement aux États-Unis en ralliant l’OTAN. L’actuel, ambitionnant – paraît-il – un destin continental, parle Anglais à l’étranger et bavarde en Français à n’en plus finir quand il s’agit de tromper le peuple sur ce qu’il pense et qu’il murmure en Anglais à ses partenaires de même allégeance. Entre ces deux présidents nous trouvons celui qui, à un moment, s’est gonflé d’orgueil et s’est senti français, lorsque notre Armée lui a offert le « plus beau jour de sa vie ». Il est pourtant le plus décrié et n’a rien fait pour arrêter ces dérives.

Délibérément, donc, le président actuel, élu par le non-vote des Français, partage ce qui n’est plus que la gestion de la France avec la Commission bruxelloise et les grands commis de l’internationalisme occidental. Cette politique lui convient. Elle est bien évidemment définie par l’État profond washingtonien, inspirant le collège davosien, les financiers de la City londonienne, les penseurs de Bilderberg et de la Trilatérale. Il ne la conteste donc pas dans l’espoir, probablement, d’en être un jour une éminence, alors qu’il détient le pouvoir qui le lui permettrait. En vérité il en est un des petits maîtres.

Le Droit n’est que le résultat d’un rapport de forces. Quand le rapport de forces change, le Droit change. Il n’est pas une constante ou un ensemble de textes intangibles. Un accord ne convenant plus doit être dénoncé. L’histoire foisonne de renversements d’alliances, de ruptures et de mésententes après des promesses de fidélités éternelles. Tout est question d’intérêt et de volonté…

Le pouvoir étant entre ses mains, il n’y a donc qu’un responsable de l’état actuel de notre pays, du malheur de nos agriculteurs, de nos classes moyennes, de l’affaiblissement de nos Armées, et du délabrement de la structure économique, financière, sécuritaire et sociale du pays.

Cette situation délirante pour un peuple aussi politique que le nôtre ne peut durer. Les dérives internationalistes d’un seul, soutenu par quelques comparses, nous entraînent dans des guerres qui ne sont pas les nôtres, nous impliquent dans un système économique et monétaire qui ne nous correspond pas, nous détruisent en tant que Nation, agressent notre identité, ravagent notre morale chrétienne et malmènent notre peuple.

« Bruxelles » n’existe que parce que « Paris » le veut bien. Autrement dit, l’UE dans ses désolantes aberrations, n’existe que parce que la France, en son gouvernement, le veut bien.

Poursuivant le syllogisme, elle n’existe que parce celui qui s’est arrogé un pouvoir absolu, lentement confisqué aux Français dans la suite de ses immédiats prédécesseurs, le veut bien. Ce que n’ont pas osé exiger les « Gilets jaunes » et ce que doivent exiger nos agriculteurs dans leur légitime colère, c’est la fin de l’absolutisme et de la délégation de tout un pan de notre souveraineté à une organisation qui n’importe que parce qu’une ploutocratie française accordée à
une ploutocratie étrangère, le veut bien.

Mais, ainsi que le disait Einstein, demander à ceux qui ont créé le problème de le régler est le comble de l’imbécilité.

Conclusion ?

Nos compatriotes agriculteurs, qui plus que quiconque savent ce qu’est la France pour être en communion avec la glaise nourricière de la Nation, ne peuvent continuer leur lutte avec un espoir de succès qu’en se tournant contre les véritables responsables du sentiment de déréliction de notre pays. Contre ceux qui préfèrent engager les blindés de la Gendarmerie face à eux, face aux Français plutôt que dans les banlieues sécessionnistes et islamisées ou défendre nos frontières.

Paysans, ils portent bien ce nom. Ils sont la France dans sa diversité de terres et de climats, de métropole et d’outre-mer et la France est avec eux. Leur combat est aussi le nôtre.

Général (2S) Henri ROURE

Abécédaire du nouvel ordre mondial n°1

Précisons d’emblée que cet Abécédaire du Nouvel Ordre Mondial n’est pas fait pour les tièdes, les modérés, les adeptes de la bien-pensance et de la politique du ventre mou. Arthur Sapaudia a puisé ses sources parmi des livres qui ont pour la plupart  peu de chances de se trouver sur les rayons de la FNAC et des médias qui donnent des cauchemars aux promoteurs de la pensée wokiste. Vous voilà prévenus. Ça décoiffe du début à la fin de ce recueil de près de cinq cents pages. Ici, pas de langue de bois, on appelle un chat un chat et on pourfend à la hache toutes les fariboles cosmopolites. La liste des sujets abordés est extrêmement vaste : citons au hasard l’antiracisme, l’avortement, la disparition des Blancs, les chemtrails, le contrôle mental, le Covid, Disney, la Fabian Society, le féminisme, la franc-maçonnerie, la géo-ingénierie, le Great Reset, la GPA, HAARP, Hollywood, l’immigration, la kabbale, le national-sionisme, le Parlement Juif Européen, la pédocriminalité, le QUI, le rapport Kinsey, le club Le Siècle, la surveillance généralisée, l’Institut Tavistock, le transhumanisme, le wahhabisme…

Le lecteur sera entraîné dans les réflexions cinglantes de Maurice Bardèche, Abel Bonnard, Louis de Bonald, Louis-Ferdinand Céline, Lucien Rebatet, Donoso Cortès, Mgr Delassus, Pierre Hillard, Charles Maurras, Christian Perronne, Léon de Poncins, Jean Raspail, Claire Séverac, Alain Soral, Jérôme Bourbon, Aldous Huxley et beaucoup d’autres.

Ce livre est un recueil de citations sous la forme d’un abécédaire.

Contient des citations de : Alexis Carrel, Alexandre Lebreton, Dominique Venner, Edouard Berth, Emmanuel Ratier, Epiphanius, George Orwell, Georges Sorel, Hervé Ryssen, Jacques Thomet, Jean-Claude Michéa, Jérôme Bourbon, Joseph de Maistre, Julius Evola, Laurent Guyénot, Lucien Cerise, Michel Clouscard, Oswald Spengler, Otto Weininger, Pier Paolo Pasolini, Pierre Jovanovic, Pierre-Antoine Cousteau, Pierre-Joseph Proudhon, René Guénon, Robin de Ruiter, Vance Packard, Yann Moncomble, Youssef Hindi… et bien d’autres !

Elles proviennent également de sites internet ou de revues spécialisées.

Ce travail a pour objectif d’aider les personnes ne désirant pas ou n’ayant pas le temps ou la motivation d’ingurgiter et d’assimiler des heures de conférences ou des centaines de livres interminables ; d’aider ceux qui se sont remis à lire récemment en les aiguillant vers de futures lectures ; de résumer et vulgariser des notions issus de plusieurs ouvrages ; d’approfondir certains sujets oubliés ou méconnus ; enfin et surtout, de mieux comprendre la situation actuelle afin de sortir de la déprime.

Il ne s’agit pas de donner une définition claire, nette et précise de chaque mot, notion, événement, société secrète, doctrine… Il s’agit d’accompagner, d’informer et d’aider le lecteur. À lui par la suite de faire ses propres recherches.

La liste de mots contenu dans cet abécédaire n’est pas exhaustive. De nombreux autres sujets auraient pu y être développés pour comprendre le monde moderne ; ils le seront dans les prochains tomes.

Celui-ci contient, entre autres, les mots : antiracisme, antisémitisme, chemtrails, Covid-19, démocratie, écologie, fascisme, féminisme, franc-maçonnerie, Great reset, immigration, ingénierie sociale, juif, kabbale, MK-Ultra, mondialisme, pédocriminalité, transhumanisme, Union européenne… et bien plus.

À propos de l’auteur

Le compilateur, né dans les années 90, milite depuis plusieurs années pour le retour aux valeurs traditionnelles, s’inquiétant de la disparition du bien, du beau, du vrai et du juste au sein de notre société moderne, prémisse du Nouvel Ordre Mondial. Il tient également un site internet, sapaudia.org, où il publie régulièrement des entretiens écrits avec des personnalités de la Résistance.

Le Livre Noir de la Gauche française

Xavier Moreau signe un nouvel essai attendu sur un des sujets les plus occultés par les médias (et pour cause, la plupart des journalistes étant juge et partie) : la vraie nature de la Gauche Française, révélée à travers ses racines idéologiques et spirituelles, sa naissance philosophique et ses accomplissements historiques.

Les faits relatés sont loin de la légende dorée du parti qui revendique toujours le “monopole du cœur”, du progrès, de la Morale et du Bien…

Résumé:

La gauche française prétend depuis son apparition sur la scène politique française à la supériorité morale non seulement sur une droite conservatrice rarement représentée mais sur le peuple français en tant que tel. Elle en serait le guide vers un meilleur des mondes progressiste. Pourtant lorsque l’on regarde les accomplissements de la gauche depuis 1792, on y perçoit sur l’essentiel qu’une succession de crimes et de trahisons dont à aucun moment elle n’a eu l’intention de s’amender. C’est cette histoire sans concession de la gauche française qui est retracée dans ce livre.

Où le trouver?

Sorti à la veille de Noël, il trouvera naturellement sa place sous votre sapin (si votre mairie de gauche de l’a pas encore interdit). Publié en autoédition, vous pouvez le commander directement chez l’imprimeur et le recevoir chez vous en quelques jours:

Lettres helvètes 2010 – 2014


Gabriel Galice
Editions des Syrtes
2016

La corruption : un mal endémique


Brigitte Henri
Editions L’Hermès
2002